L’empreinte des lignes
Le grimoire d’ivoire reposait devant lui, silencieux et immuable, mais il n’était plus vide. Les sigles nocives qui avaient émergé à la surface de la rubrique portaient une lourdeur indécelable, à savoir si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est vu. Cette libre phrase résonnait da